Le drôle de client

Invité

Laura était chez elle. Tout était tellement luxieux et tellement grand. Il lui arrivait même si elle avait un bon sens de l'orientation de se perdre dans son propre manoir. Elle était sur son lit et se détendait. Elle voulait retrouvé un peu d'inscousciance. Elle sortit sa 3DS et joua a Mario Kart 7 et joua en ligne contre des Japonais. Si elle n'était pas très forte a quelque chose, c'était bien a mario kart. Elle finissait la plupart du temps dernière. En pleine course, exploit, elle était en deuxième position mais la sonnerie d'entrée sonna. Elle ne voulait ouvrir qu'après la partie. Puis en ralant elle alla ouvrir sans même avoir terminer : Et si c'est un client !
Elle ouvra et fut surprise.

Invité

[Hors rp: Aaaah Mario Kart... Quel jeu excellent!]

Un jour, Pétunia ne savait trop quoi faire de sa journée, elle était chez elle, mais s'ennuyait.
Elle se saisit d'un livre et commença sa lecture afin de combler le vide qui occupait ses pensées. Malheureusement, ce livre était aussi ennuyant que les émissions qui paissaient actuellement à la télévision.
Elle ne pouvait pas rester comme ça à rien faire. C'est en méditant sur ce qu'elle allait faire de sa journée, qu'elle eu une idée remarquable.
Elle avait déjà diverses fois entendu parler du gang de tueurs nommés "Dekiller". Ils étaient réputés pour leurs efficacité et leur rapidité impressionnante.
Ceci intriguait Pétunia depuis plusieurs semaines. Elle aurait aimé tester d'elle-même ses "collègues" à qui elle n'avait jamais adressé le moindre mot.
Elle posa son livre et éteignit immédiatement la télévision quand elle eu cette idée. Elle avait décoré sa maison telle un château. De la dentelle un peu partout, de la vaisselle luxueuse, des meubles en bois précieux...
Un vrai palace. Elle se saisit de son ombrelle ornée de dentelle et sortit de sa maison si luxueusement décorée.
Elle prit les clés de sa voiture discrète et mit le contact. Elle posa ses mains fragiles sur le volant et démarra. Elle se dirigea en direction du manoir Dekiller, où les réservations son censées être prises. Non, elle n'y allait pas pour commander un meurtre, elle n'aimait pas tuer pour le plaisir, elle ne tuait que si elle en avait besoin. De plus, elle n'avait pas besoin des Dekiller pour prendre une vengeance, elle pouvait le faire d'elle-même. Tout ce que Pétunia désirait, c'était de discuter avec un des Dekiller.
Elle arriva devant le manoir, appuya sur le frein, et enleva les clés. Elle sortit de sa voiture délicatement.
Sans s'en rendre compte, un sourire niais s'était dessiné sur son doux visage, elle le stoppa immédiatement pour le remplacer par un sourire doux et agréable... Elle toussota et s'avança vers le manoir. Elle sonna. Elle entendit des pas se rapprocher de la porte et d'un coup, une jeune femme l'ouvrit.
Cette jeune fille dégageait une douce odeur d'un parfum connu par Pétunia. Elle était bien coiffée et assez bien habillée. Son style n'était pas extravagant, elle se fondait bien dans la masse, le profil parfait pour une tueuse.

*Je sens qu'on va bien s'entendre, toi et moi.*

La jeune fille semblait surprise quand elle découvrit le visage angélique de Pétunia.
Après réflexion, quoi de plus normal? Pétunia était connue dans le milieu, réputée pour n'avoir besoin de personne.
Et puis, même si Laura ne connaissait pas Pétunia, elle connaissait sa belle-sœur, Dahlia Hawthorne.
Qui ne la connaissait pas après tout? Après tout ce qu'elle avait fait... Ses crimes sans mobiles... Cette fille écœurait Pétunia plus que tout au monde.
Elle avait un grand sentiment d’amertume envers Dahlia. Dahlia était réputée pour être douée en matière de meurtre, intelligente, stratégique...
Tout ceci n'est qu'une vulgaire erreur. Dahlia n'est qu'une incompétente qui veut se faire entendre. Beurk.
Tout ses crimes ont raté. Le procureur Godot et l'avocat Phoenix Wright en sont deux exemples.
C'est donc pour cela que Laura aurait pu être surprise. Dahlia et Pétunia se ressemblait énormément, pourtant, aucun lien ne les unissent et explique cette ressemblance troublante.
Pétunia reprit son sourire angélique couvrant la grimace qui venait de s'afficher sur son visage en pensant à Dahlia. Cette ordure.

-Je suis bien au manoir Dekiller?

Elle jeta un léger coup d’œil à l'intérieur, oui, c'était bien le célèbre manoir Dekiller. On pouvait en déduire en regardant le couloir immense et luxueux.
Des meubles en or décoraient ce magnifique couloir, ainsi que des tableaux rares et chers. Elle détourna son regard plein de lueur et l'orienta vers la jeune Dekiller.

-Pétunia Hawthorne, enchantée.

Pétunia ne connaissait pas cette jeune fille, mais savait qu'elles allaient bien s'entendre. Le visage innocent de la Dekiller lui arracha un sourire.
Elle savait que derrière cette mine fragile innocente et angélique se cachait un être machiavélique. Qui d'autre que Pétunia pouvait aussi bien le savoir?

Invité

La cliente n'était autre que Pétunia. Elle était assez connu dans le milieu. Elle était performante, manipulatrice, efficace, discrète : le profil parfait pour une tueuse. De plus, elle ne tuait pas sans raison, ce qui est assez rare pour les tueurs en série, mais Laura aimait cette qualité : elle était si rare !
L'invité s'avança vers elle avec un doux sourire :

-Je suis bien au manoir Dekiller?

Cela fit sourire Laura, encore une qualité : prudente.
- Oui oui, comme vous vous en doutez. Bien rentrez à l'intérieur.
Elle lui fit découvrir des couloirs du manoirs, elle n'avait pas le choix, on était obligé de passer par la pour aller dans une pièce ce qui avait le don d'énerver Laura.
Pétunia semblait curieuse devant ses couloirs richement décoré, mais elle était habitué au luxe.
( ouf ! enfin quelqu'un qui n'est pas envieuse de notre fortune !)
Elles rentrèrent dans un des salons du manoir
Puis Pétunia interrompit ses pensées

-Pétunia Hawthorne, enchantée.

Cla fit rire Laura.
Et moi Laura Dekiller, enchanté ! Mais vous le saviez déja je suppose, comme je savais votre nom
Puis Laura pensa a quelque chose.
Je suppose par contre que vous n'êtes pas venu ici pour les affaire, rigola Laura, je penses que vous savez le faire par vous-même, je me trompe ?

Cela était bizarrement agréable de parler à quelqu'un comme Pétunia. Après tout, c'était une personne comme elle ...

Invité

Les deux jeunes femmes rentrèrent dans le manoir, toutes les deux aussi souriantes l'une que l'autre... Plus Pétunia s'avança dans le manoir, plus les pièces renfermées l'intriguaient, les unes autant que les autres. Seulement, Pétunia fut interrompue dans ses coups d'oeil indiscrets par la douce voix posée de Laura.

- Je suppose par contre que vous n'êtes pas venue ici pour les affaires, rigola Laura, je pense que vous savez le faire par vous-même, je me trompe ?

L'accueil chaleureux et amical de la petite Dekiller fit sourire Pétunia. Rien qu'en la voyant, on pouvait distinguer de la sincérité sur le visage de Laura. Malheureusement, beaucoup de tueurs ne pensaient qu'aux meurtres, aux sang et aux moyens de couvrir le crime, au point d'en accuser des innocents. Quels lâches. Ces ordures ne mériterais même pas de vivre. Certes, tuer est quelque chose de mal, certes Pétunia en est consciente, seulement, ses crimes, elle, comparer à d'autres tueurs qu'elle fréquentait régulièrement, elle les assumaient totalement. Mais soit, c'est un choix. Laura n'était absolument pas comme ça. Ceci rassura Pétunia qui ne put s'empêcher d'en pousser un léger soupire de soulagement... Il faut avouer que Pétunia n'a aucun sentiment. Elle se moquait des victimes qui gisaient au sol, même s'il n'y avait aucun mobile. C'est juste que Pétunia ne tuerai pas sans mobile. Bien trop dangereux. Dahlia en est une preuve. Elle s'amusait à tuer sans mobile? Regardez où elle a fini. Le doux pays des condamné(e)s à mort. Un sourire mauvais s'imposa sur le visage de la jeune femme en repensant à sa belle-soeur. Pétunia aurait tellement aimer la tuer de ses propres mains, après toute cette amertume qu'elle éprouvait pour elle... Elle aurait aimé mettre fin au jours de la rousse. Même après s'être aperçue de ce sourire, Pétunia ne le stoppa pas pour autant. Elle continua de sourire tout en redressant son regard vers la jeune tueuse professionnelle.

-Oui, je pense qu'en matière de meurtre je me débrouille. Je n'ai pas vraiment besoin des Dekiller pour tuer quelqu'un. Bien qu'il faudra que je test, un de ces jours. J'admire beaucoup votre travail intact et rapide. Votre façon de tuer n'est pas lâche, vous prouvez que vous avez été embauchée et ça, j'apprécie beaucoup. Vous n'être pas une lâche comme tous les tueurs que j'eu l'occasion de rencontrer.

Tout en continuant leur trajet dans cet énorme manoir, le regard de Pétunia fut attiré par un vase luxueux datant du moyen-âge. Ce manoir ressemblait presque à un Musée. Elle se dirigea vers ce vase, et ses papillons vinrent se déposer dessus. Elle les regarda d'un regard atrocement perçant, ce qui les fit fuir. Elle posa une main sur le vase en verre et fit glisser son doigt tout doucement le long du vase, en même temps que son regard. Bien que tous les meubles étaient luxueux et bien plus importants que ce stupide vase isolé au milieu d'une table, il rappelait des choses à Pétunia. Des souvenirs sombres... Parmi tant d'autres en réalité. Elle se souvint d'avoir vu un vase semblable lors de son premier meurtre: celui de sa propre mère. Elle avait glissé le poison dans le vase dont sa mère prenait soin en changeant l'eau des fleurs tous les matins. Ce qui lui avait donc permis de se resservir du poison à volonté. Une idée simple, qui porta ses fruits. Les escargots avaient mangé les fleurs, le poison n'a donc jamais été retrouvé par les policiers. Même si tous les escargot ont tous été retrouvés morts dans le jardin. Le sourire mauvais s’amplifiait de plus en plus, mais Pétunia n'en avait que faire. En présence de personnes de son rang, elle n'avait aucunement besoin de se montrer douce ou fragile.

Invité

Oui, je pense qu'en matière de meurtre je me débrouille. Je n'ai pas vraiment besoin des Dekiller pour tuer quelqu'un. Bien qu'il faudra que je test, un de ces jours. J'admire beaucoup votre travail intact et rapide. Votre façon de tuer n'est pas lâche, vous prouvez que vous avez été embauchée et ça, j'apprécie beaucoup. Vous n'être pas une lâche comme tous les tueurs que j'eu l'occasion de rencontrer.

Laura était contente qu'elle lui dise ça. Elle lui disait tout ce qu'elle pensait
-Je m'en doutais que vous n'étiez pas venu pour les affaires, d'ailleur je dois vous avouez que ça m'arrange, je n'ai pas envie faire ce métier pendant le moment, je vais me faire des petites vacances. Et puis comme vous le voyez, même si j'arretais de travailler, il y aurait quand même bien plus d'argent que l'on peut dépenser en une seule vie. Vous pourrez nous tester quand vous voulez, sauf en cce moment, je m'accorde un mois de vacances. Merci pour l'honneur, vous êtes une des rares a approuver cela. Les gens qui n'ont jamais tué dans leur vies ne peuvent pas comprendre que des être comme nous puisse avoir un honneur, et les tueurs trouvent cela très bizarre et que c'est ridicule. ça me rassure que quelqu'un soit comme nous. Vous pourrez passer quand vous voulez, ce sera votre deuxième maison.

Pétunia regarda un vase. C'était loin d'etre le plus riche mais un des objets qui a une des plus grande valeurs.
Elle vit le sourire mauvais, cela doit lui rappeler des souvenirs.

Je suppose que ce n'est pas le vase lui-même qui vous interesse, n'est ce pas ? Mais faites attention, celui ci n'est peut être pas luxieux mais dans nos coeurs, il l'est bien plus que la plupart de objets qui sont dans ce manoir. Cela peut parraitre bizarre, mais en plus de tuer, nous pouvons être des gardes du corp. Nous devions protéger le fille d'un ami très cher, enfin mon père, j'étais petite a ce moment la. Nous avonns évidemment réussi et son père bien qu'il soit très pauvre nous a donné l'objet le plus luxieux qui se trouvait dans sa demeure. C'était un héritage auquel il tenait beaucoup mais il nous l'a donné. D'ailleur c'est bien mieux d'etre garde du corp, c'est bien plus dur que de tuer des pauvres proies qui ne comprennent pas ce qui leur arrive. Oh, je vous raconte ma vie. Puis je vous tutoyer ? Cela serait plus simple pour moi !

» Une drôle de lettre

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