V somnolait dans son fauteuil du XVIIIème siècle, lorsque sa porte principale explosa en milles morceaux. Ca y est c'était parti sa mort arrive. Il l'attendait depuis maintenant ces 19 ans aujourd'hui il a 26 ans et sa vengeance est finie. Il ne ressentait plus aucune raison de vivre il avait tout perdu, sa vie, son amour, ses amis, sa famille. De plus il était recherché par toute la population pour ses crimes. Il savait qu'il ne lui restait plus qu'une chance...Mourir..
Il entendit des bruits de pas et une odeur de café apparut. Il savait que son ennemi juré était là, même pire que ca qu'il était cerné....
Il sauta depuis le deuxième étage et attéri sans aucun soucis. Il vit un commando des forces spécial armés jusqu'aux dents. Il avait pensé juste à une chose ses deux lames rétractables cachées dans ses manches et dessous il avait un habit spécial qu'il gardait pour sa mort et sa rédemption. Godot dit d'une voix forte et cynique comme à son habitude :
- Le grand V on le dit fort et puissant, rapide et agile, mais ce n'est rien d'autre qu'un monstre sanguinaire qui joue avec les faibles et torture les femmes. Stupide et arrogant, assassin ridicule sortant d'un cirque pour enfant. Vous n'êtes rien d'autre qu'un rebelle et les rebelles on les mate !
V ne bougea absolument pas et Godot appuya dans la gâchette ce qui le surpris, mais il garda son sang froid et juste un infime picotement avait lieu dans son ventre. Le temps semblait s'arrêter et les paroles de Godot résonnaient dans sa tête. Sa vue se troublait non à cause de la douleur, mais à cause des larmes de ce qu'il était. Il laissa échapper un souffle lorsque Godot lui frappa dans la plaie infligée par la balle. Il senti ses mâchoires se crisper et ses poings se serrer. Godot reprit avec son ton habituel :
-Alors ca fait mal hein ? Sale lâche ! Abruti, monstre, assassin ca fait quoi de voir ça à côté de son nom ! Je vais venger toutes les familles que tu as fait souffrir. Je hais les personnes qui tuent pour le plaisir ! Et malheureusement pour toi tu es ce genre de personne ! Tu figure sur ma liste.
Les paroles de Godot semblaient être comme des couteaux il avait raison il avait commis des crimes, ce qui était impardonnable tuer, massacrer, assassiner... Des innocents comme des coupables. La vengeance lui avait caché la vue, elle lui caché la vérité de sa vie et des moralités de la vie. Ce que l'on lui avait appris. Il n'avait plus qu'une religion la vengeance. Il se rendit compte qu'il n'avait jamais rien fait des choses bien dans sa vie, il fallait qu'il se repentisse. Il fallait qu'il se purifie et pour ca il fallait qu'il devienne un rempart contre l'inégalité et l'injustice.
Il regarda Godot droit dans les yeux, puis enleva son masque le commando approcha son doigt à chaque mouvement de V. Il enleva sa cape noir, ses gants en cuir noir, ses habits noirs pour être enfin dans une tenue blanche et rouge. D'une blancheur immaculée et d'un rouge sang. Il fallait qu'il purifie son âme pour essayer de récupérer ce qu'il avait perdu et de pouvoir enfin dormir sans revoir les meurtres qu'il avait commis. Il regarda Godot droit dans les yeux avec son vrai visage et lui dit :
- Vous voyez Godot je pensais que ce serait aujourd'hui que je mourrais, mais voyez vous je ne peux pas encore donner mon âme à dieu, car je suis rien d'autre qu'un vulgaire criminel pour le moment. Je n'ai agis que par pur égoïsme, mais c'est finit maintenant je vais arranger la société et détruire ceux qui font régner l'injustice.
V sorti un bouton de sa manche en faisant attention de ne pas déclencher ses couteaux rétractiles qui étaient ses seules armes. il appuya dessus et toute la battisse explosa en une énorme déflagration. V sortit par la porte en courant. Il arriva dehors sans grande difficulté et courut jusqu'au plus grand building de la ville et grimpa dessus. Une fois arrivé en haut il cria de toute la force de ses poumons :
- JE SUIS VAAST VOLTURNO !! ET SI LA VERITE S'ECRIT DANS LE SANG ALORS J'EN SERAIS L'AUTEUR !!!!
Il disparut ensuite courant sur les toits de la ville et n'ayant qu'une idée en tête tuer ceux qui ne mérite pas la vie...